Les animaux de soutien émotionnel ne cessent de faire parler d’eux et de donner du fil à retordre aux compagnies aériennes.
Mardi dernier, la police d’Orlando a été contrainte de faire débarquer une femme d’un avion de la compagnie Frontier Airlines, lorsque celle-ci a essayé d’amener à bord son écureuil de soutien émotionnel. La femme a été informée que les écureuils n’étaient pas autorisés à bord par la politique sur les animaux de la compagnie aérienne.
« Le passager a noté dans sa réservation qu’il apportait un animal de soutien émotionnel mais n’a pas mentionné qu’il s’agissait d’un écureuil », a déclaré la compagnie aérienne dans une déclaration fournie à WFTV, filiale d’Orlando ABC. « Les rongeurs, y compris les écureuils, ne sont pas admis sur les vols Frontier. »
D’après son site Web, la politique de Frontier se lit comme suit :
«Nous n’acceptons pas les animaux inhabituels ou exotiques, notamment les rongeurs, les reptiles, les insectes, les hérissons, les lapins, les oiseaux non domestiques ou mal nettoyés et/ou les animaux à odeur nauséabonde. »
Non seulement la femme a été sortie de l’avion, mais tous les passagers du vol ont dû descendre également après qu’elle ait refusé de sortir.Le vol a ensuite quitté Orlando pour sa destination à Cleveland – sans la femme – après un retard de deux heures.
i just want everyone to know that all passengers had to deplane my flight to cleveland because a woman brought a SQUIRREL ON THE PLANE pic.twitter.com/TAdzUuKRWe
— Julia Papesch (@julia_papesch) 10 octobre 2018
Plusieurs autres compagnies aériennes ont également mis à jour leurs politiques cette année, dont JetBlue et Delta, qui ont interdit les pit-bulls dans un geste controversé.
Lire aussi :Embarquer son animal de soutien émotionel… selon Chris Pratt |