Au cours de l’été, Alexandre Bergeron quittait NCL pour devenir le nouveau BDM d’AmaWaterways au Québec. Pour en savoir plus sur ses nouvelles fonctions et ses projets, nous avons échangé avec lui, à son retour d’une croisière sur le Rhin.
Profession Voyages : Comment trouvez-vous le passage de l’univers des croisières océaniques à celui des croisières fluviales?
Alexandre Bergeron : On est dans une formule beaucoup plus intime (150 passagers et moins à bord contre 3000 et plus), ce qui permet de passer un maximum de temps à destination.
Je crois que l’expérience AmaWaterways ressemble plus à celle d’un hôtel boutique de luxe, qui est flottant et qui offre un maximum d’immersion locale. Ça rejoint aussi mes valeurs de développement durable, de tourisme plus immersif et de rencontres plus authentiques avec les habitants des villes et villages visités.
En outre, « Ama » signifie « Amour », et ça représente bien l’expérience de service attentionnée et personnalisée que vivent les clients. Ces mêmes valeurs de bienveillance se vivent aussi dans cette organisation à taille humaine.
PV : Quelles sont les forces d’AmaWaterways que vous comptez mettre de l’avant, en vous adressant aux Québécois?
AB : Le fait que les excursions (jusqu’à six par jour, incluant celles en vélo), les boissons (aux repas et aux cocktails) et l’accès à Internet soient inclus, ce qui fait de la croisière AmaWarterways une expérience clé en main ultra tout-inclus.
PV : Le mois dernier, vous avez mis en ligne une page Facebook pour les conseillers en voyages québécois; pourquoi avoir choisi ce moyen pour les atteindre?
AB : C’est, selon moi, le meilleur moyen de rejoindre les agents, qui sont désormais dispersés partout au Québec et qui travaillent autant depuis la maison qu’à l’agence. Je compte me servir notamment de cette page pour partager les nouveautés et les tarifs pour agents de voyages et faire connaître les voyages de familiarisation, mais aussi pour promouvoir des concours et des incitatifs à la réservation.
PV : Quelles sont les destinations qui marchent le mieux au Québec, et quelles sont celles qui sont appelées à performer à court ou à moyen terme?
AB : Bien que le Danube et le Rhin demeurent les fleuves les plus en demande pour visiter l’Europe centrale, avec leurs villes impériales majestueuses, nos itinéraires sur le Douro, au Portugal, sont également très prisés, tout comme les marchés de Noël.
PV : Quels autres moyens comptez-vous utiliser pour que les agents se familiarisent avec vos produits?
AB : De courtes capsules vidéos et des webinaires seront disponibles dans les prochaines semaines pour les agents de voyages du Québec, et des éducotours seront également organisés en 2025 pour faire connaître, et surtout faire vivre l’expérience AmaWaterways. Je suggère aux agents de se joindre à notre groupe sur Facebook, pour en être informé!