Depuis la semaine dernière, Profession Voyages navigue à bord de l’Elbe Princesse II, dans le cadre d’une croisière entre Prague et Berlin, de la Tchéquie à l’Allemagne. Voici un second compte-rendu en photos (2/3).
Arriver le soir à Dresde a ceci d’avantageux qu’on peut découvrir de nuit cette ville incroyable, reconstruite pierre par pierre après la guerre, car elle est alors particulièrement bien mise en valeur.
C’est d’autant plus pratique que l’Elbe Princesse II est amarré à 10 minutes à pied de la vieille ville.
Le lendemain, on peut donc choisir entre le tour guidé en autocar de CroisiEurope, qui passe par plusieurs secteurs de la ville, ou se concentrer sur la vieille ville – qui mérite à elle seule quelques jours, alors trois heures ne sont pas de trop.
Entre autres splendeurs de Dresde, le Zwinger se démarque particulièrement. Même s’il est, hélas, au cœur d’importants travaux de rénovations, on peut néanmoins en admirer toute la superbe.
Élevée directement aux abords de l’Elbe, Dresde se contemple aussi fort bien depuis le pont Soleil de l’Elbe Princesse II.
En quittant la ville, le navire défile devant cette étonnante construction aux allures de mosquée, mais qui fut édifiée à l’origine comme usine de fabrication de cigarettes.
Tout le monde passe ensuite à table : ce midi, on varie un peu le menu avec une mozzarella di bufala et son tartare de tomates au pesto – on ne mange pas toujours français sur l’Elbe Princesse II, mais on mange toujours bien. Ce soir, de délicieuses cailles sauce au vin rouge seront servies.
Le long de l’Elbe se succèdent ensuite villages, hameaux…
… et églises isolées.
Prochaine escale : Meissen, dont le château fort est l’un des plus anciens d’Allemagne.
Sa vieille ville médiévale est particulièrement agréable à parcourir.
Plusieurs ruelles semblent s’enrouler autour du promontoire où se trouve la cathédrale.
Meissen est aussi – et surtout – réputée pour sa fine porcelaine…
… qu’on fabrique ici depuis 1710.
De retour à bord du navire, on a organisé ce soir une soirée « guingette à la française ». Pour l’occasion, tout l’équipage porte le béret.
Il faut d’ailleurs souligner que le service à bord est impeccable, et que tout le personnel – femmes de chambre et matelots compris – est avenant et sympa avec les passagers. Le service à table et dans les espaces publics est particulièrement chaleureux et efficace, et fourni majoritairement en français.
Quant au capitaine, on sent qu’il est en contrôle, qu’il en a vu d’autres et qu’on peut lui faire confiance en tout état de cause!
À suivre…
Pour plus d’info sur cette croisière, c’est par ici.
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