L’ACTA se félicite de l’exonération des frais par l’OPC mais demande des mesures d’allégement supplémentaires

15 février 2021 — L ’ACTA applaudit la décision de l’OPC de dispenser les agences de voyages et les conseillers en voyages du Québec à payer les frais de permis à compter du 1er mars 2021, jusqu’au 28 février 2022 pour 1 an.

Au nom des membres, l’ACTA a demandé également à l’OPC s’il rembourserait les agences et les conseillers en voyages qui ont déjà payé leurs frais pour 2021 et a été informé qu’ils ne seront pas remboursés, mais que ceux qui ont déjà payé recevront une exemption pour leurs frais de renouvellement en 2022.

“Nous sommes heureux de voir que l’OPC suit l’exemple du gouvernement de l’Ontario et de TICO en ce qui concerne l’exonération des frais pour l’année à venir”, a déclaré Wendy Paradis, présidente de l’ACTA. “L’ACTA continuera à faire pression pour que les agences et les conseillers en voyages soient davantage soulagés en cette période très stressante”.

Une aide supplémentaire est nécessaire au Québec

L’ACTA continue de demander à l’OPC et au gouvernement du Québec de se pencher sur d’autres charges réglementaires, notamment

  • Réduire le montant de la caution requise et la durée à 5 ans.
  • Remplacer les missions d’examen coûteuses par une déclaration de vérification pour les agences de voyages dont le chiffre d’affaires brut est inférieur à 2 millions de dollars, ce qui permettrait d’aligner le Québec sur les mesures prises par l’Ontario.
  • L’ACTA continue également à demander au gouvernement du Québec une aide dans le cadre de l’Aide aux entreprises en régions en alerte maximale (AERAM). Ce programme de financement vise à aider les entreprises qui ont été partiellement ou complètement fermées en raison du mandat d’une autorité de santé publique. Les gouvernements ayant fortement renforcé le message de ne pas voyager, les agences de voyages et les conseillers en voyage ont été effectivement “fermés” depuis mars 2020 et doivent donc être admissibles à ce programme.

Le gouvernement de la Colombie-Britannique n’a toujours pas répondu par des actions similaires

L’ACTA continue également d’implorer le gouvernement de la Colombie-Britannique d’intervenir à cet égard et de suivre les mesures prises par l’Ontario et le Québec.