Hier soir, PromPeru a rassemblé plusieurs conseillers afin de leur rappeler toutes les possibilités qu’offre le Pérou, au-delà du Machu Picchu.

La soirée s’est déroulée à La Maison du développement durable de Montréal, sous la thématique « Pérou : au-delà de l’ordinaire », afin de mettre l’accent sur la diversité de la destination, au-delà des classiques. « Répétez après moi : le Pérou est plus que le Machu Picchu! », de lancer Gwendoline Duval, de Duval Communication, qui représente la destination au Québec.

Le pays de 31 millions d’habitants est toujours aussi populaire auprès des Québécois et des Canadiens, qui ont été plus de 75 000 à s’y rendre en 2024, soit une augmentation de 60,5% comparé à 2023. Ils s’annoncent pour être encore plus nombreux en 2025.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle Air Transat, après deux ans seulement à proposer des vols directs pour le Pérou à partir de Montréal, augmente déjà son offre à deux vols par semaine pour l’hiver prochain. « Les vols se remplissaient rapidement », dit Jhadyd Gonzalez, chef ventes nationales pour le transporteur, qui offre également des vols directs depuis Toronto.

Du côté de VAC et GVQ

Helena Silva Inacio, chargée de compte chez Vacances Air Canada, a pour sa part annoncé que le voyagiste propose désormais, en nouveauté, une dizaine de circuits accompagnés de 9 à 16 jours, afin de compléter ses vols directs offerts de décembre à mars.

De son côté, Groupe Voyages Québec propose deux circuits au Pérou. Un de 19 jours, pour un maximum de 18 personnes et qui explore la nature et les richesses du pays, et un autre de 16 jours accompagné par l’organisateur de séjours actifs Bougex, « pour les sportifs mordus de randonnés », dit Sandra Mallette, déléguée commerciale principale de GVQ.

Un pays aux 1000 possibilités

Au cours de la soirée, Gwendoline Duval a fait une présentation de la destination où elle a mis de l’avant le fait que le Pérou, selon elle, offrait des possibilités nombreuses et variées.

« J’aime les pays qui me permettent de tout faire dans une même destination », a-t-elle dit en précisant que c’était le cas du Pérou. Le pays est l’un de ceux qui proposent la plus grande biodiversité de la planète, en particulier dans la forêt amazonienne qui occupe 60 % de son territoire, et il abrite 13 sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

La destination est aussi reconnue mondialement pour sa gastronomie : le Maido, à Lima, est considéré comme le « meilleur restaurant au monde » par le réputé palmarès World’s 50 best. « Côté histoire et culture, je trouve que le pays a particulièrement bien su conserver sa culture traditionnelle », d’ajouter Gwendoline Duval, tout en soulignant qu’il faut absolument rendre visite à des communautés lors d’un voyage au Pérou.

Du reste, le pays est aussi riche en possibilités d’aventures et de plein air et il saura plaire aux sportifs. Finalement, comme le Pérou n’a, au pire, qu’une heure de décalage horaire, l’endroit est tout indiqué pour ceux qui veulent télétravailler.

Une destination durable

Ce n’est pas pour rien que l’événement d’hier s’est déroulé à la Maison du développement durable : le Pérou sait se montrer avant-gardiste en matière d’actions environnementales et durables. « Le Machu Picchu est d’ailleurs la première merveille du monde à être carboneutre », souligne Gwendoline Duval.

Celle-ci a ensuite présenté aux conseillers les différentes régions du pays ainsi que les secteurs et attraits moins connus, tout en insistant sur le fait que les voyageurs pouvaient trouver sur place des hébergements de styles variés et pour tous les budgets. Elle a aussi suggéré des itinéraires en dehors des classiques que sont Lima et Cuzco, et proposé de visiter le pays même en basse saison, de décembre à mars.

Le Pérou est aussi un leader en croisières fluviales en Amérique latine, et des compagnies de croisière comme Aqua Expeditions et Delfin Amazon Cruises voguent déjà sur l’Amazone, offrant ainsi une autre façon de découvrir le Pérou.

Encore plus loin

« Il y a un grand engouement des Québécois pour le Pérou, et je crois que c’est en partie en raison de nos valeurs et intérêts communs : la gastronomie, le plein air, la culture, d’ajouter Gwendoline Duval. Selon elle, le pays des Incas n’est peut-être pas la première destination à laquelle pensent les Québécois et les Canadiens, et que c’est aux conseillers à la proposer.

Le Pérou entend d’ailleurs accueillir encore plus de touristes de chez nous en 2026 grâce au son nouvel aéroport, à plusieurs nouveaux hôtels et à une offre de vols plus importante que jamais.

La destination souhaite aussi miser sur la diversité de ses activités et ses possibilités d’affaires. Le tout sera mis de l’avant grâce à des stratégies de marketing numérique.

Une autre soirée de présentation de la destination a lieu ce soir dans un restaurant péruvien de Québec.

Info : peruagent.com et peru.travel